Da Jia Hao ! 大家好!

Bienvenue sur ce blog !

Je m'appelle Maxime, et j'ai travaillé en tant que V.I.E. dans la ville de Shenyang entre le mois de Novembre 2009 et le mois d'Août 2011.

Me voici donc rentré en France, mais pour autant j'essaierai de continuer à faire vivre ce blog, car il me reste encore quelques histoires à vous raconter. Et pourquoi pas le prolonger plus tard ?

Ce blog est fait pour vous, mais merci de LAISSER UN COMMENTAIRE, car un post non commenté, c'est comme s'il n'était pas lu... Pour lire dans l'ordre chronologique, il faut commencer par la fin et lire de bas en haut. enJoy !

Voici l'heure qu'il est du côté de l'Empire du Milieu : horloge parlante

dimanche 29 août 2010

Des Boulistes dans le Yunnan

Je reviens tout juste de 2 semaines de vacances avec quelques potes de Toulouse. Tout simplement parfait ! Et pourtant, tout commençait plutôt pas top : alors que j’étais censé accueillir le toulousain (Martin) et le suisse (Damien) à Shànghǎi Pǔdōng avec l’ami Pad débarqué de Taipei, mon avion affiche 2 puis 3 puis 4 heures de retard ! Enfin arrivé et après avoir dégusté un délicieux repas japonais dans un tepaniaki, je perds mon portefeuille, avec mes cartes bancaires française et chinoise, mon badge d’entreprise, et un petit mémo avec quelques numéros de téléphone et les informations sur les vols que nous devions prendre vers le Yunnan. Heureusement, quelqu’un retrouve l’essentiel (en gros, tout sauf le portefeuille et l’argent liquide dedans) et me le rend le lendemain. Ouf !
Le dimanche j’assiste au mariage de mon ami François ‘Fracape’ Racapé, à la sauce chinoise : un vrai show, en plusieurs actes, avec une robe différente à chaque fois pour la mariée (toutes plus jolies et sophistiquées les unes que les autres) et une bande son bien chinoise (comprendre beaucoup trop de décibels) qui alternait entre un speaker qui hurlait sans cesse dans le micro et des musiques tantôt technos tantôt chinoises avec des transitions massacrées. Malgré la répétition de l’après-midi, le collègue François avait l’air bien perdu au milieu de cette mascarade, mais heureusement pour lui, tout fut plié en même pas 3 heures. Ainsi, à 22h à peine, je remerciais les mariés et la famille pour leur accueil et partait rejoindre les copains.
Nánjīng lù (南京东路)
Lundi, nous visitons Shànghǎi, de People’s Square (人民广场 rén mín guǎng chǎng) au fameux décapsuleur de Pǔdōng (tour haute de presque 500m), en passant bien sûr par le Bund (外滩, wài tān) et Nánjīng lù (南京东路, rue piétonne commerçante et très touristique). Nous retrouvons Mathieu à l’Expo après sa journée de travail. Beaucoup de monde, et des queues bien trop longues devant les pavillons, aussi nous choisissons les pavillons ‘faciles’ (France, parce que nous avons nos passeports) ou peu encombrés (Belgique, Hollande, …) et profitons plutôt de l’architecture et des éclairages extérieurs de l’Expo. Le soir, nous tombons complètement (enfin presque) par hasard sur une fête surprise des ‘pavillonnaires’ sur la place des Amériques pour célébrer les cents jours (la moitié) de l’Expo. Ambiance énorme, avec même la réouverture de leur pavillon par les Canadiens quand la police décide de fermer la place, open bar gratuit au passage, et concert improvisé de djumbé. Le hold-up de l’année, au bas mot.
Mardi c’est le grand départ pour Kūnmíng (昆明). Vol sans encombre, achat des billets de train pour le retour à Shanghai (en Chine, les billets de train ne sont ouverts à la réservation que 10 jours en avance, ce qui n’est pas toujours pratique et implique bien souvent de faire la queue dans un immense hall blindé de gens) sans échapper à la règle énoncée ci-avant, – mention spéciale pour Damien qui a acheté son billet pour Lèshān quasiment sans aide, – quelques courses, et hop, nous sautons dans le bus de nuit pour Lìjiāng (丽江). Au fond du bus, malgré des couchettes assez confortables, nous ne trouvons pas vraiment le sommeil tant les routes sont chaotiques.
Découverte de Lìjiāng au petit matin
Nous arrivons donc plutôt fatigués au petit matin à Lìjiāng, ne sachant pas trop où aller ni où se trouve l’auberge que nous a conseillé Alain. C’est donc l’occasion pour nous de déambuler dans la Vieille Ville alors que les rues sont encore vides, calmes, et donc magnifiques. La Vieille Ville est quadrillée de petits canaux, et de jolies petites rues et ponts pavés de grosses pierres jaunes. Les maisons sont typiques, mais malheureusement, ça sent un peu trop le rénové. Mais on se console vite avec la tranquillité qui règne ici alors que le soleil se lève derrière les montagnes… Ça change des grandes villes chinoises qui ne dorment jamais. Après une sieste bien méritée à l’auberge, nous ressortons dans un tout autre décor : les boutiques sont maintenant ouvertes et les rues sont pleines à craquer de touristes (essentiellement chinois). Nous passerons l’après-midi à nous promener dans ce capharnaüm, profitant une nouvelle fois de l’excellente cuisine du Yunnan, et achetant souvenirs et cartes postales (elles doivent être en chemin !), avant d’accueillir Mathieu qui nous a rejoints par avion.
Le centre du vieux Lìjiāng s'anime en soirée, aux bords des canaux
Le programme initial du jeudi (balade près du lac de Lìjiāng) est perturbé par les horaires de bus. Puisque nous voulons nous rendre le soir même à Qiaotou pour pouvoir attaquer les Gorges du Saut du Tigre (虎跳峡 hǔ tiào xía), nous sommes obligés de quitter Lìjiāng plus tôt que prévu. J’ai juste le temps de croiser la famille de François qui est aussi en vadrouille dans le coin ! Comme quoi le monde est pas bien grand… Sur la route, Mathieu nous fait la démonstration de son lemme : « les chinois ne doublent pas s’il y a quelqu’un en face. Mais s’il n’y a pas de visibilité, comme juste avant un gros virage par exemple, on ne peut pas voir s’il y a quelqu’un en face. Donc on peut doubler ! ». On assiste ainsi à des dépassements plutôt chauds, et l’on voit un ou deux camions renversés, une camionnette encastrée dans un terre-plein, et une voiture qui on ne sait pas bien comment est passée de l’autre côté d’un très large fossé. C’est rassurant tout ça, dites donc… Nous arrivons finalement (toujours en vie !) en fin d’après-midi à Qiaotou et passons une soirée bien sympa dans l’auberge à l’entrée des Gorges.
Martin avait bien choisi son T-shirt ce jour-là !
Départ le lendemain matin, avec pour objectif d’atteindre la bien nommée auberge Half Way en fin d’après-midi. Certains passages sont assez difficiles, mais le beau temps et la beauté des paysages compensent largement les efforts. C’est super agréable de se balader sur des sentiers non pavés et avec pas trop de monde. Le chemin est ponctué d’auberges où nous reprenons régulièrement des forces (pratique), et nous arrivons sans problème, mais bien crevés quand même, dans celle qui offre certainement la meilleure vue sur les gorges. Nous passerons la soirée sur une grande terrasse qui fait face à une gigantesque falaise, le tout avec le soleil couchant et une douce brise. Mais que demande le peuple…
Samedi, il est temps de se rapprocher un peu de l’eau qui gronde en bas des gorges. Direction le bout du chemin qui rejoint la route goudronnée, puis un autre petit chemin plus escarpé ponctué d’échelles façon via ferrata, « qui ne doivent pas vraiment être aux normes CE » comme dirait Mathieu. Nous atteignons les eaux torrentielles en début d’après-midi, et ici encore le spectacle est saisissant : les pluies torrentielles des semaines passées ont gonflé les flots, et la puissance du courant est vraiment impressionnante. C’est pas vraiment un ruisseau à mettre un kayak dedans ! Puis c’est déjà l’heure du retour vers Lìjiāng, par un premier mini-van sur route défoncée puis un deuxième mini-van sur route moins défoncée mais avec un chauffeur barjo. Dans les deux cas, on oscille encore entre fou-rire et grosse peur.
Dépassement collector...
Nous partons ensuite vers Dàlǐ (大理) où nous séjournons jusqu’au mardi dans l’auberge Lili Pad, tenu par un français complètement génial, et surtout ravi d’accueillir des compatriotes sachant apprécier son excellente cuisine et partager son vin avec lui. Après une superbe journée de vélo (2 tandems + un VTT) sous un soleil radieux, autour du lac Erhai, avec découverte d’un marché local et traversée de petits villages super mignons (et prise de maxi coups de soleil au passage…), nous aurons le plaisir de déguster un repas « fromages et vins » qui nous fera dire que décidément c’est chouette d’être français. Cocorico ! Dàlǐ est également une ville très charmante, avec une Vieille Ville moins condensée qu’à Lìjiāng, des rues plus larges et des maisons typiques mais pas toutes identiques, ce qui offre du coup un caractère bien plus authentique. Les touristes sont aussi un peu moins nombreux, ce qui en fait un endroit bien agréable.
Dîner fromages et vins à l'auberge du Lili Pad de Dàlǐ (大理)
La fin du séjour s’approche pour Mathieu, qui n’a pas pu prendre autant de jours que nous. Nous partons donc vers Kunming, où Mathieu doit prendre son avion, et où l’on retrouve le compère Sébastien qui de son côté a vadrouillé dans le sud de la Chine depuis Hong Kong. Kunming n’offre pas les mêmes attraits touristiques que les autres villes, mais nous visitons néanmoins un joli parc et un temple bouddhiste où nous écoutons des prières en chant. Le soir nous faisons découvrir l’ambiance d’un club bien chinois à Martin et Damien, attention boules quiès obligatoires !
Puis nos routes se séparent, Damien et Sébastien partent une dernière semaine dans le Sichuan, tandis que Martin, Pad et moi devons reprendre le chemin du boulot. Dans les 2 cas, direction la gare pour prendre des trains chinois, avec 17 et 39 heures pour atteindre respectivement Lèshān et Shànghǎi ! Bien que certaines descriptions de voyages en train chinois lues sur des blogs divers me laissaient craindre le pire, il s’est avéré que passer 39 heures dans un train sur des « couchettes dures » (qui sont en fait plutôt confortables) se fait en fait assez bien. Entre parties endiablées de crapette et autres bataille corse (oui, Karpy, on sait que t’es le meilleur, la ramène pas trop, tu veux ?), apéro, apprentissage du poker chinois avec un groupe de jeunes du compartiment d’à côté, et combat d’épée avec des gamins chinois plein d’énergie, on n’a presque pas vu le temps passer. Sans compter que les paysages qui défilaient étaient encore une fois plutôt déments…
Martin en plein combat avec "petit scarabée"
Le retour à la réalité, au boulot, et à l’air si charmant de Shenyang (on s’habitue plutôt bien à retrouver l’air pur à 2500m, bizarrement…) n’est évidemment pas très marrant, mais je me console en me disant que ca doit être dur pour les autres aussi de retrouver leur train-train quotidien. Et puis je vais bientôt commencer à prendre mes nouvelles fonctions au boulot, en attendant la venue des parents pour de nouvelles aventures !

vendredi 6 août 2010

Les chinois(es) n’aiment pas le soleil

Maintenant que l’hiver a laissé place à l’été, le climat continental de Shenyang s’exprime complètement, il est fait souvent chaud, et quelque fois très beau. Et quand le soleil tape, il tape plutôt bien ici, et visiblement les chinois n’aiment pas trop ça. Ainsi, malgré la chaleur, il n’est pas rare de voir des chauffeurs de taxi porter des manchettes (ou au moins une sur le bras gauche) pour éviter de bronzer sur les avant-bras. De la même façon, on voit beaucoup de femmes se promener avec des ombrelles (et aussi des lunettes de soleil à l’italienne, qui prennent plus de la moitié du visage) dans la rue. D’ailleurs bien souvent ce ne sont pas des vraies ombrelles, mais des parapluies bien opaques qui ne laissent pas passer un seul rayon. Car l’idée n’est pas d’éviter les coups de soleil, c’est d’éviter de bronzer tout court.
Mais il faut se rappeler qu’il n’y a pas si longtemps que ça en France, et j’imagine un peu partout en Europe, le bronzage n’était pas encore forcément bien vu, car il signifiait bien souvent que l’on travaillait dehors, et donc que l’on n’avait pas une bonne situation. Ici, l’origine du phénomène est à n’en pas douter la même, mais il a survécut plus longtemps. Avant de partir, je lisais un bouquin écrit au début du XXème siècle sur la Chine rurale du XIXème, qui mettait en scène un paysan qui devenait riche, et qui s’étonnait de recevoir des critiques sur la couleur de sa peau, ou la taille de ses mains. Etre bronzé, c’est donc encore plutôt mal vu. Dans un autre registre, j’ai constaté que beaucoup de chinois (y compris les hommes) gardaient leurs ongles relativement longs, ou au moins un doigt (l’auriculaire) avec un ongle long. J’ai entendu plusieurs théories, comme quoi cet ongle long servait à se curer le nez ou les oreilles (bon appétit bien sûr), mais la plus intéressante est qu’il s’agit en fait d’un moyen de prouver qu’ils peuvent garder leur ongle propre, autrement dit qu’ils ne sont pas de simples roturiers qui travaillent dans les champs ou sur des chantiers, mais qu’ils ont un travail dans un bureau.
Moi je quitte le bureau pour 2 semaines (youpi !), direction Shanghai pour un mariage, puis le Yunnan pour un trip avec les potos !!! J’espère qu’il y aura plein de soleil, parce que pour le moment, c’est pas trop gagné… Priez pour nous ! A bientôt !

mercredi 4 août 2010

Vous avez dit maintenance ?

Je vous en avais déjà parlé, nombreux sont les bâtiments qui sont laissés à l’abandon après avoir été vidés de leurs occupants. Ces immeubles en ruine (n’ayons pas peur des mots), qui ont déjà les vitres défoncées et les portes arrachées pour éviter d’éventuels squatteurs, sont alors détruits complètement, rasés jusqu'à la base, et bien souvent remplacés par des immeubles flambants neufs, très souvent plus hauts, mais qui sont montés tellement rapidement (ça aussi, je vous en avais parlé) que l’on peut se demander si le même sort ne les attend pas dans les prochaines années. Et quand je dis les prochaines années, c’est peut-être à peine une décennie, tant le climat peut se montrer rude ici à Shenyang, et tant les constructions sont faites rapidement et semble-t-il sans le soin nécessaire pour espérer résister aux intempéries. Mais il n’y a pas que les intempéries qui abîment ces bâtiments : les entrées d’immeubles chinois ne sont pas vraiment entretenues, et très rapidement, les parties communes (lobby, ascenseurs, …) deviennent sales, dégradés, etc…
Celui-ci est quand même déjà bien haut, je ne sais pas s'ils vont le raser pour en faire un autre...
Ceci est révélateur d’un aspect très surprenant de la mentalité chinoise. Quand quelque chose vieillit, on le consomme jusqu'à ce qu’il ne puisse plus servir, puis on le jette et on en rachète un autre (si possible, en mieux), et ainsi de suite. La notion de maintenance, ou d’entretien, est quasi inexistante. C’est ainsi qu’au sein de nos ateliers, nous avons du mal à faire en sorte que nos machines fonctionnent bien, car très souvent, certaines pièces sont défectueuses, mais pas encore complètement cassées. Les gars de la maintenance ne voient donc pas l’urgence à changer lesdites pièces, puisque la machine fonctionne encore à peu près bien. Or ce que l’on veut nous, c’est que ces machines fonctionnent à 100% de leur capacité, et dans leur état original (ou du moins, un état le plus proche possible de l’origine).
Sûrement un restaurant qui n'a pas résisté aux nouvelles chaînes qui pullulent dans les énormes centres commerciaux à deux pas de là
Cet aspect se retrouve donc un peu partout. Dans nos usines (et j’imagine dans beaucoup d’autres usines chinoises, avec certainement des degrés plus avancés, puisque nous poussons énormément nos équipes de maintenance à agir, et je ne pense pas que ce soit le cas partout dans les usines 100% chinoises), dans le bâtiment, dans l’automobile (certains taxis dans lesquels je suis montés n’avaient pas moins de 800 000kms au compteur, et ne semblaient pas vraiment prêts à s’arrêter de sitôt !), etc… Plus inquiétant, cela n’a pas l’air d’être sur le point de changer. Par exemple, bien que tout le monde constate que faire les trottoirs avec des grandes dalles de marbre, ce n’est pas une super idée, parce qu’avec les infiltrations et le gel en hiver, ça donne des dalles explosées et des trous et des bosses, on voit partout où l’on construit de nouveaux centres commerciaux que les trottoirs y seront gentiment pavés… avec des grandes dalles de marbres…

mardi 3 août 2010

Il fait beau à Shenyang !

Dōng líng gōng yuán (东陵公园) sous un soleil radieux
C’est suffisamment rare pour le signaler, nous avons eu un week-end avec deux jours de grand ciel bleu d’affilée. Un vrai ciel bleu sans brume, et un grand soleil, j’aime autant vous dire que nous ne sommes pas restés chez nous. Au programme, visite de la tombe de l’est, dōng líng gōng yuán (东陵公园), qui est apparemment la copie parfaite de la tombe du nord (je vous confirmerai ça quand nous l’aurons visité avec les parents en septembre), avec Alain, Xiaoyi, et Louis, nouveau V.I.E. fraîchement débarqué pour un an. C’était très agréable, il n’y avait pas trop de monde (les chinois n’aiment pas trop le soleil, j’y reviendrai), et la chaleur n’avait rien à voir avec celle de Shanghai. On a quand même pris des coups de soleil, mais on en était presque contents, comme preuve que les rayons du soleil peuvent nous atteindre même ici !
Scène typique chinoise.
Visez un peu le chapeau de la dame à droite. Oui, oui, c'est un nénuphar !
Ensuite nous nous sommes baladés au bord d’un étang qui borde la rivière, et il y avait plein de familles sur les bords, en train de pêcher, de pique-niquer, ou de faire la sieste dans des hamacs. Ça m’a rappelé les dimanches après-midi autour des étangs de Ville d’Avray, il ne manquait que les canards et les cygnes pour compléter le tableau.
Alain est super content !
et Xiaoyi peaufine son bronzage
Enfin, nous avons longé la rivière le long de laquelle je vais parfois courir, et nous nous sommes posés dans l’herbe, à contempler des groupes de chinois débarquer avec tout leur attirail de barbecue. En 10 minutes, le contenu de 2 mini-vans était étalé sur l’herbe : tentes, tables de jardins, chaises pliantes, 2 mini-barbecue, les immanquables glacières et caisses de bière, ainsi que les parasols et une nappe de 3 mètres par 4. Quand ils décident de faire un barbecue, ils ne rigolent pas les chinois. Ils étaient une grosse dizaine, et il y avait assez à manger et à boire pour nourrir tout ce beau monde pendant 15 jours !
Tout ce beau temps avait mis Xiaoyi de bonne humeur (comprendre d’humeur à faire beaucoup de shopping), et elle à réussit à me trainer dans les fameuses galeries commerciales dont je vous ai déjà parlé. Résultat des courses, 3 nouvelles chemises, et aussi des cadeaux chinois pour les copains qui débarquent la semaine prochaine ! J-4 messieurs !!

Une petite carte pour vous aider à repérer mes visites en Asie


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